Du côté des travaux, deux dossiers sont revenus sur la table:
la réfection de la rue de Montagne à Mont-Saint-André (corrections du cahier des charges demandées par la Région wallonne) – le dossier est donc en ordre maintenant-
et les travaux rue du Chenois. L’acte de cession de voirie pour permettre les travaux d’égouttage a dû repasser suite à un désaccord avec un riverain. On peut ici à nouveau se poser la question de la préparation des dossiers et la nécessité régulière de devoir les repasser devant le conseil pour corrections. Un contact préalable avec les riverains pour finaliser le dossier avant le passage au conseil aurait peut être pu permettre un seul passage et gagner du temps. Mais ce n’est que supposition, je ne connais pas tous les détails du dossier.
Enfin, le cahier des charges pour l’aménagement d’une rampe d’accès PMR à l’église de Grand-Rosière a également été adopté. Suite à une intervention de notre part (Ecolo), une demande de certification (PEFC ou PFSC) des bollards en bois exotique a été ajoutée au Cahier des charges.
On peut en effet développer des projets de coopérations avec des pays africains, mais d’un autre côté, si nous utilisons des bois exotiques (azobé) menacée par une surexploitation et la déforestation, nous participons au pillage des ressources naturelles de ces mêmes pays. C’est bien ce que nous dénonçons depuis longtemps à Ramillies. La coopération permet juste au Collège de se donner bonne conscience (et encore?) , mais n’est pas intégrée dans une vision politique. Nous devons à chaque fois revenir sur l’importance d’avoir une certification et des garanties quant à la provenance et la durabilité des ressources utilisées pour les chantiers publics de la commune.